Alerte maximale... [Libre]

Sujet: Alerte maximale... [Libre] Lun Oct 10 2011, 19:38

Cela allait bientôt faire quelques mois que le T811 faisait de la récupération et de la surveillance dans le bunker désaffectée. Le lieu était devenu, au fil du temps, un véritable terrier extrêmement dangereux. Oh oui, il se souvenait de cet endroit... Il y avait été confiné, dans un caisson de livraison, au beau milieu d'un laboratoire de recherches clandestin. Mais il avait sauté... Et depuis, d'étranges phénomènes se présentaient dans ce bunker : Intoxication des créatures environnantes, possibilité très éventuelle de rencontrer des rats d'un mètre cinquante et, très éventuellement, rencontre possible avec un mutant expérimental... Bien qu'il ne venait ici que faire de la récupération, en cachette, il menait tout de même une petite enquête en même temps qu'il tentait de réfréner les créatures sordides et répugnantes qui foisonnaient dans ce lieu maudit...

Et pourtant, un intrus avait rompu cette "protection" qu'il avait mis en place en décourageant les êtres organiques à pénétrer dans le bunker... Fort heureusement, la partie infectée n'était accessible que par une voie, et par précaution, celle-ci était jonchée de capteurs, de portes blindées se refermant au moindre déclenchement et de tourelles de neutralisation par chocs électriques légers. Il était caché, derrière un mur, son arme multifonctions à la ceinture et un fusil d'assaut dans le dos... Il avait également deux masques à gaz à la ceinture, en cas d'urgence. Pas pour lui, étant donné qu'il n'avait pas besoin d'air pour respirer, mais pour sauver d'éventuelles victimes...

Le T811 attendait, en cherchant où pouvait se trouver l'intrus. Le jour même, il avait remarqué qu'un tuyau de transport de gaz toxique post-mortem-psychotrope était endommagé... S'il cédait, c'était la contamination rapide de la zone et une probabilité éventuelle de début d'infection de cadavres qui se relèveraient parfois pour errer sans but... Ce gaz est celui qui devait, à la base, satisfaire le sadisme pervers d'un scientifique que le T811 connaissait plus que bien : Andrew...

En effet, Andrew était celui qui était à l'origine de la puce électronique qui donnait au T811 M421 sa similitude avec l'être humain. Il avait fini dans ce bunker, avant de mourir après avoir manipulé certains produits présents dans le lieu. Depuis, ce lieu était comme une véritable bombe à retardement qu'il était impératif de faire exploser, dans le but de protéger le monde extérieur... Mais cet intrus était présent le jour même de la détonation, alors que la totalité des alentours du bâtiment était truffée de charges explosives qui, sur une simple pression du bouton de commande, pourraient annihiler toute forme de vie dans le sous-terrain ! Il devait trouver l'intrus et le mettre en lieu sûr... Il avait son fusil d'assaut dans les mains, avec une lampe-torche montée en-dessous. Il arriva finalement à un croisement, ses deux yeux rouges reluisant dans le noir, parlant dans un microphone dont le bruit résonnait dans tout le bâtiment...

« Veuillez quitter ce lieu le plus vite possible ! Vous vous trouvez dans un lieu très hautement dangereux et nocif aux êtres organiques... Ceci n'est pas un exercice. Je répète : présentez-vous à l'entrée du bunker sans attebdre ! »

Il pointait son arme au sol, pour ne viser personne. Sa voix était étonnamment inexpressive et neutre, du fait qu'il était une machine n'ayant pas encore appris à montrer des émotions... Son regard neutre appuyé par ses deux yeux rouges luisant dans le noir n'était que plus révélateur... Mais intérieurement, il était en état d'urgence : il suffisait qu'un tuyau instable ne cède pour qu'un gaz mortel ne saisisse le bâtiment, et il suffisait que le déclencheur soit appuyé par accident pour que le bâtiment explose... et les personnes à l'intérieur avec. Il avait foncé vers l'entrée pour attendre la personne qui avait pu entrer dans le bâtiment abandonné...

Sujet: Re: Alerte maximale... [Libre] Ven Oct 14 2011, 04:28

Nakura no sekkai
Kara miega

■■ Je contemplais les étoiles depuis la pénombre

Après son arrêt du navire, sa poursuite de l’histoire à la cascade de jouvence, elle était encore en cavale. Ces vêtements s’étaient imprégnés de son sang. Elle avait beau tenté de les lavée pour faire partir les hémoglobines mais celle-ci s’était incruster et à présent peu de chance pour qu’elles partent. Il fallait faire avec et puis s’était tout. D’ailleurs, cela la mit en colère. Elle ne savait même pas où elle était. Cet endroit était franchement étrange. Différent de tout ce qu’elle avait vu à présent. Et le moins rassurant était ce qu’elle avait découvert dans la soute du navire. Si ces choses réussissaient à sortir de leurs cages et venir ici, elle était mal. Elle avait bien un majordome qui lui prêtait des pouvoirs selon lui. FOUTAISE ! Depuis son arrivée pas une fois il avait pointé son nez. Elle ne l’avait pas franchement trouvé lâche. La rebelle avait même eut le droit de percevoir une partie de ce qu’il savait faire.

Pour venir d’où elle venait, la demoiselle avait encore une fois du prendre un bateau. Le trajet n’avait pas été bien cher. 0.10 Pièce d’or. Pourquoi partir alors qu’elle venait d’arriver. Les souvenir cauchemardesque qui l’avaient mené à arriver ici ne venait que de débuter. Vivre seule dans cette endroit méconnue et différent de tout monde civilisé était effrayant. Nulles émotions ne le transmettaient, mais au fond, elle le ressentait. Alors elle partit. Partie ailleurs, dans un chemin inconnu, un chemin choisit par le hasard. La rebelle voulait se réveiller et se retrouver de nouveau dans sa grande villa, où son père logeait, et l’autre odieuse femme. Malheureusement, elle le savait, c’était impossible. Ce bateau était un nouveau départ. Elle l’espérait. Et pourtant, les soucis ne s’envolent pas avec la brise.

La voilà à bon port. Dans une ville dont elle ne connaissait pas le nom, pas les dangers, pas les habitats, ni même s’il y en avait. Elle se mit alors à marcher sans savoir où ces pieds la menaient. Tout chemin mène forcément quelque part, n’est-ce pas ? Le sien s’arrêta devant une bâtisse dont elle ne se fia pas à l’apparence extérieure. Lorsqu’elle se mit devant l’entrée elle n’osa pas avancer plus. Une vraie vision de l’horreur. Ce n’était pas franchement attirant mais pourtant, cet endroit l’attirait. Il devait y avoir pleins de choses intéressante à voir. Ca respirait le vécu, le combat. Mais la curiosité est un vilain défaut. Un cri parvint alors à ses oreilles. Un cri qui ferait frissonner n’importe qui.

« Qu’ es ce que c’est q’ça ? »

Non, non Misa n’est pas partie en courant levant les bras comme une ahuri. Elle est restée et y est entré, vous devez certainement vous dire doucement sans faire de bruit. Vous imaginant la jeune fille apeuré mais qui, par sa curiosité, fut forcé à entrer. Et bien effacé cette image. La décoloré avançait presqu’en courant vers le cri. Sauf qu’à mi-chemin, le silence régna de nouveau. Et c’est en entendant seulement son cœur battre qu’elle commença à se demander ce qu’elle faisait là, sans moyen de défense, dans un lieu dénué de lumière où une odeur nauséabonde régnait. Le sol était jonché de flaque de sang séché par ci par là. Des petit yeux rouges, surement appartenant à des rats, l’accompagnait dans sa marche. Un escalier vint alors à sa rencontre. Sans attendre, elle l’emprunta pour atteindre à autre lieu qu’elle espérait plus clair. Mais ce fut raté. L’endroit semblait grouiller de choses étrange mais elle n’était ou ne se sentait pas en danger de mort et décida de se poser dans un coin. Ces affaires étant déjà tachées de rouge, elle ne craignait plus grand-chose.

Tentant de se détendre, adosser à un mur, elle tenta de fermer ses paupière et rapidement le sommeil la prit. Sa respiration se fit régulière, son sac était posé sur ses genoux collé contre sa poitrine. Il eut d’abord des légers bruits de pas. Puis un gros boom comme si quelqu’un avait trébuché et était tombé ou s’était pris un mûr. Dans un sursaut, Kazuki immergeât de son sommeil et ouvrit les yeux. Non loin des escaliers emprunter se distinguait une ombre aux formes étrangère. Elle décida de ne pas bouger son sac dans un premier temps. Peut-être ne serait-elle pas distinguer. Son odeur d’humaine fraiche avait dû guider le monstre à elle. Il semblait habituer à l’obscurité et s’avançait vers elle dangereusement. Misaki ne fit pas de mouvement brusque et tenta de s’accroupir lorsqu’une voix surgit de nulle part. N’écoutant pas ce qui venait d’être dit, elle en profita de se redresser pendant que l’animal était déconcentrer et partie en courant vers une sortie. Ne voyant rien de ce côté-ci elle partit en courant vers la gauche et y trouva des escaliers. Rapidement elle tenta de les grimper mais rapidement le monstre la rattrapa bien facilement, l’attrapant de sa grosse patte par la cheville il l’a fit tombé en haut de l’escalier. Se retournant avec hargne la demoiselle tenta de se dégager.

« CASSE-TOI SALE CLAPS PUANT »

Boom coup de pieds dans la face qu’il ne dut pas apprécier car a peine eut-elle le temps de se redresser pour attraper la première chose qui lui tomba sous la main et par ailleurs lui rentra dans la main. Un bout de verre. Ce n’était vraiment pas de chance. Il la tira par la jambe, lui faisant dégringoler les escaliers. Lorsqu’il était question de vie ou de mort, ce n’était plus l’heure de la jouer à la douillette. Elle retira donc le bout de verre de sa main qui saigna abondamment et se tourna, effrayer, vers la bête. Sa tête tournait, son cœur palpitait et pendant un instant elle n’osa plus bouger. Tétaniser par la peur, voyant presque sa vie défiler sous ses yeux. Mais il était hors de question que sa vie s’arrête déjà, elle tenta alors d’enfoncer le bout de verre de toute ses force. Elle ne savait pas où elle l’avait eu mais il avait lâché sa cheville qui la faisait souffrir. Elle remonta les escaliers rapidement. Un coin ou se cacher. Il devait bien y avoir ça quelque part ! Pendant qu’elle cherchait le plus rapidement possible, une cachette elle tomba sur une barre de fer. Sans hésiter elle se baissa pour l’attraper mais un gros coup de patte la fit rouler sur le côté avant de buter contre un mur. Ce qui résonna. Elle n’en pouvait plus. Misaki était à bout de force, mais elle n’allait pas se laisser faire. Elle entreprit de le frapper avec la barre mais lui-même s’apprêtait à lui sauter dessus, tout ce qu’elle pouvait faire s’était contrer avec la barre, qui à présent était dans la gueule puante du démon. Tentant de tenir le coup pour maintenir cette mâchoire aiguisé loin d’elle, Misaki donna un coup de pied dans le ventre de l’animal, qui ne réagit pas. Par contre, elle faiblissait face à la force de l’animal et savait qu’elle ne tiendrait plus très longtemps…

Sujet: Re: Alerte maximale... [Libre] Sam Oct 15 2011, 17:50

Parfois, les gens ont de la chance. Et pour cette jeune fille aux cheveux décolorés, la chance lui souriait. Le T811, alias Andrew, en plus d'être une machine maniant n'importe quelle arme au mieux, était arrivé alors qu'un barre de fer tenait sa vie à un cheveu ! L'androïde fonça, poussant la fille et retenant ouverte la gueule de la créature... Un Rattler. Cette créature a une bouche très solide et une carapace presque intraversable. Il connaissait la faiblesse d'une telle créature : l'intérieur. Il maintenait sa bouche ouverte et, d'un coup sec, lui arracha en deux ! Il tint les deux moitiés de sa tête dans ses mains, puis les jeta au sol à côté du reste de son corps... Un autre arriva, alerté par le sang et le bruit. La créature propulsa ses crocs empoisonnés vers son bras, qui retint le coup... Le T811 M421 en profita pour lui fourrer la bouche... D'explosifs adhésifs ! Il s'écarta un peu et tira une unique balle dans sa bouche... Le monstre explosa littéralement, son corps s'éparpillant dans la pièce en petits bouts de chair et en organes dispersés. Enfin, une dernière créature se montra : un fauchard...

L'horrible chose avait six yeux rouges et non pas une paire de bras, mais une paire de faux aiguisées... Il tenta un tir de suppression avec son fusil d'assaut, mais il n'eut en résultat qu'un coup de faux au torse. Heureusement, il n'avait pas dit son dernier mot... Il attrapa un des faux de la créature, l'arracha d'un solide coup... Et l'enfonça dans le crâne de la bête ! Et hop, trois monstres pour le prix d'un... Toutefois, un liquide bleuâtre phosphorescent s'écoulait très lentement de son torse et de son bras... Il agrippa un fusil à pompe dans son dos :

« Vous n'êtes pas en sécurité ici... Je vais vous reconduire à la sortie. Il n'y a rien ici, excepté la mort. La zone va exploser dans dix minutes... »

Il lui tendit sa main, un air neutre au visage, une voix légèrement mécanique... C'est alors qu'une quatrième créature fit son entrée : Un Burner... Cette créature crachait des flammes et de l'acide... Andrew reçut une charge d'acide sur la tête, ce qui fit fondre la moitié de sa peau artificielle : ainsi la moitié de son visage mécanique était dévoilée... Froide, effrayante, ornée d'une lumière rouge comme le sang scintillant dans la nuit, il grogna un peu... Avant de lui fermer la bouche alors qu'il allait cracher de l'acide. On put d'abord voir la créature faire un bruit bizarre, puis se tordre de douleur quand il la relâcha, puis sa peau s'ouvrit au niveau du ventre, et ses tripes retombèrent mollement au sol. L'acide qu'il allait cracher était retombé dans son estomac... Il lui tendit alors la main, la moitié du visage visiblement robotique.

Quelle allait donc pouvoir être sa réaction ?

Sujet: Re: Alerte maximale... [Libre] Sam Oct 15 2011, 23:12

Fukanou
janai wa

■■ Ce n'est pas possible!

Misaki n’est pas la force de se redresser dans les premières secondes après avoir vu superman accourir à son secours et casser la mâchoire de la bête en deux partie distinct qu’il laissa tomber. La rebelle semblait s’être prit un coup, un fort coup sur la tête pour voir un humain faire une telle chose. C’était…Wow quoi. Pendant que Dark vador faisait ses affaires, la jeune fille regardait l’état de sa cheville qui avait enflé et sa main qui saignait toujours. Evidemment, ce n’était pas l’heure de jouer au docteur mais elle ne voulait pas regarder un humain battre ses compétences. Ca l’énervait plus qu’autre chose. Elle déchira son tee-shirt, assez mal pour tout dire et se banda la main. Lorsqu’elle leva les yeux, des bouts de chair se mirent à pleuvoir. Misa mit ses mains au-dessus de sa tête et sentit la chair fraiche se coller sur la paume de sa main et glisser difficilement. Puis d’autres morceaux l’atteignent. Par ailleurs, ces cheveux avaient des mèches d’un beau rouge vif. Elle se retenait de rendre le peu qu’il restait dans son estomac. La peur et maintenant des trucs dégueu. . . Beaucoup pour elle.

C’était trop. Misaki partit en courant dans un coin et vida son pauvre estomac. C’était répugnant. La jeune fille se sentit comme…soulager. Elle aurait pu fuir bien évidemment mais son sac, elle ne l’avait pas pris, elle dut donc faire demi-tour. Une fois arrivée sur le champ de bataille, de carnage, de l’horreur, elle observa la scène et se dirigea vers son sac qu’elle attrapa pour le hissez sur son épaule. . . Le bosse pour la fin, toujours. C’est alors que L’humain lui tendait la main qu’un truc tout moche arriva. La bête semblait bien plus dangereuse…D’ailleurs elle n’hésita pas un instant pour lancer une attaque et fit couler un bout du visage de… Ca coulait comme de la peinture ? Ce n’était pas une couche d’épiderme maintenant des hémoglobines rouges ? Il, Il avait une boite métallique. Elle eut du mal à suivre ce qui se passait. Ce qu’elle sut c’est que robot cop s’en sortit. Il lui tendit de nouveau la main qu’elle observa avant de lever les yeux vers son visage pensant que ça expliquât beaucoup de chose. Alors d’un air hautain elle entreprit de répondre.

« J’connais la sortie. Merci. »

Elle fit alors demi-tour, la tête haute, les mains bandées, le tee-shirt déchiré, les cheveux rouges sang. Ah et qu’était-ce là ? N’était-ce pas un bout de notre ami qui était sur le sac de nouvelle coloration. Sisi. Sa cheville enflée la faisait souffrir pour entretenir sa démarche mais elle tenait bon. Il lui restait moins de dix minutes pour descendre deux étages. Dans son état ca serait faisable. Si si. Pourquoi non ? Super man existe d’après les dernières rumeurs. Flash aussi alors.

Ca y est, elle savait ou elle était. Elle était dans une ville de robot mutant humain protecteur de on ne sait quoi et encore. Quoi qu’il en était, elle avait eu sa dose de sensation pour aujourd’hui et rester exilé dans un coin sympas qu’elle trouverait par magie ne lui était pas déplaisant. Mais la jeune fille revint vite sur pieds grâce aux odeurs présentes qui n’était pas en harmonie avec le paysage qu’elle s’imaginait. D’ailleurs, elle divaguait tellement qu’elle se prit les pieds dans un tuyaux et tomba per terre. Encore. Ce sol devait être aimanté à elle. Tant pis, oubliant le délai, elle prit son temps pour se relever alors que sa tête commençait de nouveau à tourner. Cette endroit était vraiment quelque chose de très sympathique…